Indémodables, atemporels et plus désirables encore à chaque saison — voici les escarpins iconiques qui résistent au temps, aux modes et aux changements stylistiques !
Certains escarpins ont le pouvoir de transcender la personne qui les porte. Mais encore faut-il choisir parmi les plus iconiques — pour cela, Icon-Icon a sélectionné les escarpins iconiques à posséder. Ceux qui, d’un coup de talon, propulsent celle qui les porte dans l’acmé du chic… Et du cool !
Justement… “Une femme bien chaussée n’est jamais laide” aimait à dire Coco Chanel. En 1957, Chanel collabore étroitement avec le chausseur Massaro pour réaliser la chaussure emblématique de la maison. “Le bout noir et légèrement carré raccourcissait le pied. Le beige se fondait dans l’ensemble et allongeait la jambe”, explique monsieur Massaro. Depuis, le slingback Chanel s’est érigé au rang d’icône absolue !
Des escarpins chics au possible perchés sur le sceau YSL… Une création du graphiste Adolphe Jean-Marie Mouron, plus connu sous le nom de Cassandre, qui en 1961, brisait nombre de codes du graphisme dans le simple souci de créer un logo jamais vu auparavant. Avec ce logo, Cassandre conteste la règle en brisant les principes de ne pas mélanger dans les mêmes mots, deux polices de caractères. Et la maison Saint Laurent y a adroitement perché un escarpin des plus désirables !
Une Carrie Bradshaw totalement accro aux créations de Manolo, et un escarpin Hangisi devenu légendaire — la griffe Manolo Blahnik permet une cambrure chic et sexy, et de tenir en parfait équilibre sur ses talons !
Le J’adior… Un escarpin Dior dont le nom est un clin d’oeil au parfum J’Adore de Dior. J’Adore, un nom « qui peut se dire dans toutes langues et dans lequel on entend or et Dior » rappelle Sabine Belli, ancienne Directrice de Marque Internationale pour les Parfums Christian Dior. John Galliano lui même y trouve un souvenir… A son arrivée à Paris, très timide et parlant très mal Français, John Galliano ne connaissait que cette formule, « J’adore, j’adooore! »
Des escarpins Prada estampillés du triangle signature… Un logo qui n’en est pas un puisque l’idée principale derrière ce logo est en fait l’absence de logo. Contrairement à d’autres maisons, Prada se proclame « anti-statut » et ces escarpins incarnent cette avant-garde !
Imaginés pour la saison automne-hiver 2010 par Maria Grazia Chuiri et Pierpaolo Piccioli, pour la collection Valentino Garavani Rockstud, les Rockstuds sont un manifeste racé à l’indiscipline. Une décennie plus tard, les Rockstuds incarnent à la perfection les escarpins des filles d’aujourd’hui.
Lancés en 1953, les mocassins mors de Gucci deviennent instantanément iconiques. Aux pieds des acteurs, actrices, femmes et hommes de goût, le soulier devient le symbole élégant d’une nouvelle époque ! En 1985, il entre dans la collection permanente du Metropolitan Museum of Art de New York. Depuis, sa cotte de désidérabilité ne s’est jamais tarie. En voici la version escarpins !
La rencontre de deux signatures iconiques de Roger Vivier. Le talon trompette, inspiré des années 70, et la boucle Belle… En 1967, Catherine Deneuve immortalisait la Belle Vivier dans le film Belle de Jour du réalisateur Luis Buñuel.
Un petit bijou aussi pratique qu’élégant, le soulier Vivier est si reconnaissable qu’il est aujourd’hui encore la signature maison.
On le surnomme le maestro du stiletto — fils du génie Sergio Rossi, Gianvito Rossi offre dans cet escarpin tout son talent en matière de chaussure sexy, élégante et confortable ! « A chaque étape de la conception, il faut penser et fabriquer la chaussure afin qu’elle soit confortable, c’est primordial. Tout est testé par des filles à l’usine. C’est durant la mise au point de la production qu’on règle les derniers petits détails qui font toute la différence. »
Automne/Hiver 2004. Si l’escarpin Pigalle apparaît pour la première fois dans la boutique Louboutin nichée dans le passage Vero Dodat, son histoire est à filer dans les souvenirs de Christian Louboutin. Une forme, une cambrure empruntée à une signalétique de musée. Dans les années 1970… Le décolleté aiguisé, le bout pointu, le noir verni et l’iconique semelle rouge achèvent d’en faire l’escarpin par excellence.
Ultra-glamour, ultra-pop, ultra-iconique.
Romy, de Jimmy Choo. L’escarpin classique réinventé avec le savoir-faire hors pair de Jimmy Choo — décolleté sensuel et cambrure élégante… Il est l’icône d’une maison qui a chaussé Diana, Madonna et Michelle Obama !
Véritable icône de la marque, le Godiva de Sergio Rossi cristallise les valeurs de la maison qui se veut « élégante, sexy et italienne ». L’audace s’allie à l’élégance et nous offre ainsi un soulier dont les lignes simples et classiques le rendent intemporel et pourtant très convoité.
Connue pour ses talons vertigineux à la cambrure affriolante, la maison Ernest chausse depuis 1904 les danseuses de cabaret du tout Pigalle, du Crazy Horse et du Moulin Rouge ! Les escarpins Damnation sont les icônes de ce répertoire aussi chic que sulfureux, dont Helmut Newton a immortalisé plus d’une poses dans ces shoots !
De quoi trouver l’escarpin parfait !
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L’Escarpin Pigalle, Un Objet Insolent De Simplicité
L’Escarpin Godiva par Sergio Rossi
L’Escarpin Hangisi Par Manolo Blahnik
Le Soulier Bicolore de Chanel