C’est en 1948, commémorant la naissance de la marque, qu’Omega commercialisa la première Seamaster dont on ne compte plus aujourd’hui les nouveaux modèles. Fondée en 1848 par le biennois Louis Brandt, la marque s’impose comme partenaire des grands événements dès 1909 en parrainant la Gordon Bennett Cup en 1909 ou par sa présence à l’édition parisienne de l’exposition des Arts Décoratifs en 1925. Date majeure, c’est en l’année 1932, à Londres, qu’Omega devient le chronomètre officiel des jeux olympiques, et il n’en sera pas autrement pour les jeux de 2016. On pourrait également citer la confiance portée à Omega par une institution aussi exigeante que la NASA en matière de précision. En effet, elle choisit l’horloger suisse pour accompagner ses astronautes dans le cadre de son programme spatial américain Apollo ; les montres Omega furent donc les témoins des premiers pas de l’homme sur la Lune. Si nous ne saurions résumer en peu de mots l’incroyable histoire de la marque, la Seamaster d’Omega y parvient cependant.
En 1932 voit le jour la Marine, première montre-poignet conçue pour les plongeurs, préfigurant ainsi la Seamaster. En effet, cette montre fût-elle aussi d’abord destinée aux aventuriers des profondeurs marines, les aiguilles et repères phosphorescents garantissant une bonne visibilité sous l’eau sont là pour nous le rappeler. Des différentes collections Omega, la Seamaster est aujourd’hui la plus ancienne, mais elle n’en bénéficie pas moins avec chaque nouveau modèle des dernières avancées technologiques. Ainsi, la Seamaster Planet Ocean fut la première montre à associer la céramique à la technologie Liquidmetal, un alliage à base de zirconium. Le résultat est la traduction matérielle de l’ambition Omega : d’une durabilité accrue, mais également esthétiquement sublime. Car si la résistance est de rigueur, la marque n’entend pas pour autant sacrifier le design de ses montres. Testée dans des conditions extrêmes dans un souci d’amélioration continuelle, chaque Seamaster prétend à l’excellence, conjuguant durabilité, précision et esthétique.
Fait méconnu, la Seamaster fut initialement pensée comme une montre aussi adaptée à la ville qu’à la campagne et inspirée des montres que portaient les soldats anglais durant la seconde guerre mondiale. Elle devint rapidement la montre de référence des grands explorateurs marins avec pour figure de proue Jacques-Yves Cousteau, pour ensuite séduire une gamme d’utilisateurs plus larges, les hommes d’action. Clin d’œil de l’histoire, Elvis Presley se fit photographier durant sa brève carrière militaire, une Omega au poignet. L’homme le plus désirable de son époque, en tenue de soldat, annonçait la starification de la montre tout en entérinant sa désirabilité (« In all the world, the most wanted watch ») sans pour autant trahir la mission de celle-ci : accompagner sans faillir l’homme d’action. Précision, durabilité, mais toujours élégance, comme Georges Clooney ne manqua pas de le rappeler dans les campagnes publicitaires de la marque, jusqu’à ce que celle-ci consacre son image de montre d’excellence ne sacrifiant en rien l’élégance à sa sportivité par le biais de la franchise James Bond. Ainsi, depuis Pierce Brosnan dans Goldeneye, l’agent 007 arbore une Seamaster, et son successeur Daniel Craig dans ce rôle n’aura pas dérogé à la règle dans le 24è opus de la série, avec la Seamaster 300.
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