La Palette Trianon Dior

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Pour la seconde fois, Dior investit l’imaginaire de Versailles, déploie le temps des Lumières et des douceurs royales en peignant le portrait d’une Marie-Antoinette moderne. La palette Petit Trianon, en hommage au refuge sucré des aventures de la reine, reprend trois couleurs chères au couturier. Le rose poudré, « couleur de la joie et de la féminité », rappelle la teinte de sa maison d’enfance, la Villa les « Rhumbs » à Granville ; quand le « vert eucalyptus » marquait les esprits lors de sa première collection, le noir quant à lui inspire le créateur par sa profondeur. Cette édition limitée n’en finit pas des reconquêtes...

Le Savoir Faire de la Maison Eres

Derrière l’épure et le graphisme des coupes, les modèles recèlent des trésors de savoir-faire et de détails techniques pour créer une seconde peau qui magnifie et libère les courbes naturelles du corps. Qu’il s’agisse de maillot de bain ou de lingerie, chaque création signée Eres résulte d’une virtuosité croisée entre un trait de crayon immédiatement reconnaissable, l’utilisation de matières “high tech” et des techniques artisanales. De cette association naît une créativité unique, un esprit couture contemporain avec, toujours, pour but ultime d’embellir les femmes et leur quotidien.

Erès s’Associe à l’Hôtel Costes

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Leur point commun outre l’extrême élégance : une proximité géographique. La maison Erès fondée en 1968 par Irène Leroux, s’installe place de la Madeleine à quelques pas de la rue Saint Honoré, fief du luxe parisien et de l’Hôtel Costes, ouvert en 1995 par Jean Louis Costes et récemment classé monument historique. Ces deux marques résolument jeunes ont cependant des incarnations différentes. Quand Erès observe un minimalisme moderne, l’Hôtel Costes clame les fastes du baroque. Mêlant technicité des matières et excellence des coupes, Valérie Delafosse, directrice artistique d’Erès, a su lier l’âme des deux maisons en gardant cet épuré pour l’accompagner...

La Stan Smith Adidas, l’Iconique Tennis

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Sa fabrication débute en 1963 dans les usines de Landersheim en France pour être commercialisée dès l’année suivante sous le nom éponyme de son concepteur. La célèbre chaussure Adidas présente des innovations particulières, le cuir aéré par trois rangées de trous, caractéristiques de l’ADN de la marque, est cousu à la semelle pour plus de solidité. Enfin son système de protection du tendon d’Achille signe à nouveau la valeur de son identité visuelle sous la couleur étendard : le vert. Pourtant, un tournant dans l’entreprise Adidas va voir l’histoire de la chaussure Adidas Robert Haillet bouleversée. En 1973, la marque sportive...

Le Cuir Louis Vuitton Habille la Précollection Chaussures Printemps-Été 2014

Pour femmes citadines, les talons élégants côtoient les talons compensés ou les sandales plates en plumes d’autruches concurrençant le python ou le cuir velouté de suède. Quelle que soit la paire sélectionnée, ces chaussures sont renforcées par des éléments discrets comme des plaques d’or ou des noeuds liés à la main. Pour les dandys voyageurs, des touches rétro se mêlent aux bottes en cuir patiné ou aux mocassins aux semelles naturelles, tous ornés de divers détails tels que des cordes ou rubans tricolores.

Le Park Hyatt Paris-Vendôme : l’Édifice De La Volupté

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Désirée par Louis XIV, dessinée par Mansart et Boffrand, la place Vendôme concentre rapidement les grandes maisons de mode et du luxe. Au 5 rue de la Paix, se tenait la maison de couture de Monsieur et Madame Paquin ; fondée par Jeanne Beckers et Isidore Jacobs dont l’immense renom participa au rayonnement. C’est dans une réunion de cinq immeubles haussmanniens qu’en 2002, l’établissement Park Hyatt Paris-Vendôme voit le jour, pour renouer avec le fil d’une tradition mondaine et bruissante. Premier palace à ouvrir à Paris depuis plus de cinquante ans, c’est sans tapage qu’il affiche des espaces respirés et inspirés, dérobés derrière une façade...

Le Smoking : une Pièce de Mode Constamment Réinventée

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1966. Le pantalon est prohibé, ou très mal vu sur les jambes des femmes ; en cause : son « obscénité ». Deux ans avant Mai 68, alors que les femmes affleurent dans la vie active, Yves Saint Laurent ponctue une carrière au service de la beauté et de l’élégance en leur léguant l’argument du pouvoir. Cette année-là, en effet, le couturier annonce la collection Pop Art ; celle-ci affole et finalement affecte les codes du monde de la mode. Parmi les pièces de ce défilé haute couture automne-hiver 1966-1967, une silhouette scandalise : la n°262 ; les Américains la baptisent « Le Smoking » – premier costume...