Pour atteindre la beauté de son art, et la beauté du monde du XXè siècle, le photographe canadien a pourtant vécu certaines heures des plus dures puisqu’il vit le jour au milieu du génocide arménien. Contraint par la guerre, il fuit avec sa famille et émigre en Syrie en 1922. De là, sa destinée s’inverse...