La femme qu’elle représente sera émancipée, habitée plus qu’habillée. Sonia Rykiel, préoccupée par l’égalité et la liberté sublimera, entre autres le non fini. Elle, surnommée « la reine du tricot » par les Américains l’impose comme matière olympienne. La « nouvelle Chanel »1 qui ne peut adorer qu’un vêtement à la fois, le pense comme moyen et non comme une...