L’un est fauché par la grippe espagnole en 1918 ; l’autre par une overdose au plus haut de l’épidémie d’héroïne sévissant dans les années 80 — pour la première fois, l’oeuvre d’Egon Schiele dialogue avec celle de Jean-Michel Basquiat. Si ce rapprochement semble au premier coup d’oeil quelque peu exagéré, c’est que leur oeuvre doit...