C’est Irène Leroux qui, lorsqu’elle reprend la maison, en modernise les créations. En pleine tempête libertaire, elle se range du côté des soixante-huitards et, sous le pavé, c’est le sable qu’elle appelle, à défaut de le trouver. La première, elle se risque alors à vendre des maillots de bain toute l’année. Son geste trouve rapidement...