Cette étiquette, fondée il y a 163 ans, désire cette fois définitivement mettre à jour son histoire : en conjuguant la mémoire d’une époque au présent, Levi’s, en pleine réorganisation directionnelle, détrempe son denim et son cuir de leur habillage pour en retravailler, sinon l’esthétique, tout ce qui s’en dégage. Les designers ont ajouté des détails, retravaillé coupes et motifs, coloré par touches et par imprimé les très gyspy vestes Trucker, les chemises western et les exemplaires jeans 501 pour en faire des pièces en accord avec les qualités requises du jean parfait. En faisant appel à des « à-côtés » inattendus, Levi’s signe un véritable mélange des genres, très caractéristique de ces performances passées. On parle d’un denim inépuisable, ni par le temps ni par l’usage ; dotés des performances esthétiques des denim must-have.
Des nouveaux classiques améliorés pour devenir des éternels. Modernisées au contact de détails inattendu pour le genre : les vestes qui depuis toujours font partie de l’héritage de Levi’s sont réinterprétées au fil de finitions inopinées. La veste Trucker, pour exemple, se dessine par une coupe élégante et ajustée, enjolivée de touches de couleurs et d’un jeu de textures bien pensé. Quant au 501, on le découvrira bientôt enrichit d’éléments genre clous façon western, un fini usé, quand il ne sera pas recouvert d’une délicate broderie. Le short, lui, conserve ce « comme toujours, comme jamais » qui lui sied si bien, mais ici se couvre de broderies de rouges exotiques. Enfin, l’iconique chemise de western se revisitera aussi dans des teintes rosées, de la dentelle ; une réinterprétation où les manches façon kimono apportent la juste touche de féminité dans une chemise comme teintée au lavis. Une collection-collector à découvrir définitivement à partir du mois d’octobre.
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