L’Étoile de Mer, l’Icône Dodo

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Derrière ce nom, Dodo, s’écrit en fait en 1994, un autre chapitre de la griffe Italienne Pomellato. Le principe : concevoir un langage transgénérationnel s’inscrivant dans la lignée des bijoux sentimentaux du XIXe siècle. Et celui-ci se réifie dans des breloques tintinnabulantes destinées à devenir des compagnons intimes pour les enfants des clientes Pomellato. Un langage qui, s’il n’est intelligible qu’aux seuls initiés, devient une ode partagée par celui qui l’offre et celui qui la reçoit. En 1994 donc, le Dodo est le premier bijou imaginé pour être porté seul ou à plusieurs, dans le plus grand secret : le rêve pour les grands timides ! Précieux ou non, les atours Dodo se portent selon l’humeur sur un cordon en coton de couleur, sur des boucles d’oreilles (pouvant être vendues l’une sans l’autre), des colliers et des bracelets composés à la demande, avec plus ou moins de grains d’or. Et sur le métal se grave son sceau iconique : l’étoile de mer.

L’icône Dodo est l’un des premiers motifs imaginés par la maison. Chaque micro étoile de mer est traitée dans les ateliers de Pomellato, à Milan, là où prennent vie les plus belles pièces de joaillerie. Chacune bénéficie de la dextérité des artisans qui rivalisent dans l’art de miniaturiser les techniques : ils sertissent des micro-diamants, pas plus gros qu’une tête d’épingle. Et c’est à vingt ans que sonne souvent l’heure de se réinventer. Les 8 nouvelles versions de l’étoile de mer s’émerveillent d’or rose serti de diamants blancs, d’améthystes, de tsavorites, de saphirs orange ou bleu, de rubis ou de diamants noir ou chocolats. Joyeux et insolents. A l’image de la nouvelle boutique de Dodo au 350 rue Saint-Honoré. C’est l’architecte Italienne Paola Navonequi fut en charge de sa réalisation, et le résultat est fascinant : la boutique s’apparente à un monde fantasmé, comme un folle hybridation de la nature et de l’imaginaire. Le bleu, le rouge et le vert s’électrisent lorsqu’ils se conjuguent au gris moelleux du tapis et des fauteuils au chic très parisien. Avec un mur en mosaïque Bisazza, l’architecte choisi de rendre hommage au pays de Dodo : sur fond traité comme un damier noir et blanc, s’épanouissent ainsi des bouquets de fleurs vives pixellisées grimpant autour de la porte jusqu’à l’étage ; on dirait une fresque néo-romaine révélée par l’usure du temps… Magique !

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