Par-delà les modes et les caprices des époques, la Maison Cartier a quelque chose d’un savoir-faire et d’un artisanat uniques ancrés en son style, le tout dans la puissance d’une histoire extraordinaire, comme on en fait plus, faite de rencontres exceptionnelles, et de voyages. Depuis 1847, Cartier brille par ses prouesses techniques dans la Haute Horlogerie ; pionnière, elle passe des gardes-temps tout faits de tissus de diamants aux montres-bracelets composées dans une harmonie entre cuir et acier, le tout adouci d’un bouton d’opération d’une pierre abyssalement bleue. Les trois frères aux commandes de la griffe ont conduit de leur créativité l’esprit d’une époque entre Paris, Londres et New York. Et justement, c’est à Londres, jusqu’au 29 août 2013, que Cartier se raconte en y exposant à Selfridges sept de ses “merveilles“ qui, au fil du temps, sont devenues des signatures : Juste un Clou, Trinity, Amour, Panthère, Santos, Ballon Bleu… tout chez Cartier raconte une histoire.
En 1904, Louis Cartier a crée la première montre-bracelet – les montres Santos pour l’un des premiers aviateurs Alberto Santos Dumont ; la Panthère, c’est la trace de Jeanne Toussaint directrice de la joaillerie chez Cartier en 1933 ; et depuis sa création, le bracelet Love a honoré les poignets de nombreux amants, dont Elizabeth Taylor et Richard Burton, Sophia Loren et Carlo Ponti. Au sein de la Wonder Room encore, un court-métrage intitulé l’Odyssée de Cartier est diffusé au public et aux chalands, les faisant ainsi entrer dans l’histoire de la création des bijoux emblématiques de la Maison Française. L’idée ? Faire voyager au sein d’un des patrimoines et d’une histoire les plus riches en icônes du XXe siècle qui, aujourd’hui, ne cesse de renouveler sa créativité bijoutière et horlogère à travers une tradition posée en évidence.
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