Il faut partir du nom, qui est commun au sac Mulberry et à Elizabeth Woolridge Grant : Lana Del Rey. Un mélange de Lana Turner, actrice hollywoodienne des années 1940-1950, mythique icône glamour, et de la Chevrolet Delray, 1954, voiture symbole de l’American Dream. Lana Del Rey, 2011, chanteuse semi-réelle, au glamour vieilli et contemporain. Qu’est-ce que Lana Del Rey ? Une moue un poil boudeuse, une voix suave, douce, traînante, à rendre délicieusement nostalgique. Des cheveux ondulés comme ceux d’une sirène.
Jusqu’ici, pas grand-chose à voir avec la maison Mulberry. Et pourtant… Femme-lego, Elizabeth s’est construite du tout au tout, petit à petit, jusqu’à devenir la Lana que nous connaissons. Tout comme Mulberry, qui se construit à travers les femmes à qui elle dédie un sac. Après Alexa Chung en 2010, c’est une autre pièce qui s’ajoute au puzzle : le Del Rey.
Emma Hill, directrice artistique de Mulberry, dit « [adorer] les références nostalgiques de Lana à un glamour suranné, et le fait que son look soit à la fois rétro et moderne. C’est ce qui nous a inspirés pour créer un sac intemporel, raffiné et élégant, mais aussi pratique, qui conviendrait à toutes les femmes… ». Le rêve de Lana dans un sac, une pièce mythique pour celle qui a bâti son propre mythe. Et maintenant, à vous de rêver.
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