Une demeure au charme ancestral qui subjugue sans doute autant de la période dont elle est issue ; cette époque où le Duc de Morny fit de Deauville « Le Royaume de l’élégance ». Entièrement rénovée l’an passé, ce joyau architectural emprunte ses courbes à l’hôtel de Salm, érigé en 1786 à Paris, de la main de l’architecte Pierre Rousseau. Ses façades sculptées, son étage d’attique occultant à l’œil un toit à comble brisé ; la façade principale, animée par une rotonde en avant-corps, est percée de larges baies cintrées tandis que les élévations sont enluminées de pilastres, d’entablement et de jambages des baies. Tout dans cette Villa fait écho, comme un hommage, à l’architecture anglo-normande des manoirs de la région, au point qu’un seul regard posé sur l’édifice Cartier suffit à voyager dans le temps.
Cartier, comme partenaire officiel du 39ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, scelle sa passion pour l’Amérique du cinéma et son engouement pour le 7e Art en rendant à la ville cinégénique, un honneur digne des grandes dames. Son architecture, ses toits, ses pavés, ses bistrots et ses fêtes, bref, l’art de vivre Paris est ainsi mis au cœur de la Villa Cartier. Au sein de la bâtisse, la ville lumière accueille les acteurs, producteurs, metteurs en scène, et même les festivaliers qui, le temps d’une soirée en compagnie des étoiles, s’étourdiront d’un Paris en fête ponctué de touches So Cartier ! Le joailler signe ainsi un univers d’un extrême raffinement – « Paris Nouvelle Vague ». Cartier et Paris, Cartier et le cinéma, c’est finalement une histoire d’amour, de création et de culture qui semble n’être là que pour toujours. A travers cet évènement, Cartier cloue définitivement son engagement, en faveur du rayonnement de l’innovation et de la culture, d’une griffe précieuse, puisque la maison récompensera un film du Prix de la Révélation Cartier par un trophée modelé par le « Joaillier des Rois ».
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