Les premières collections de montres Dior remontent à 1975. Très classiques et sans lien avec le style Dior, les garde-temps deviennent, dès les années 2000, des accessoires de mode en phase avec les collections féminines : composés autour d’une féminité créative, et avec un savoir-faire d’une excellence sans pareil dans l’exécution, le raffinement des détails et le jeu des matières émerveillent. Dès lors chez Dior, l’envers des montres est traité avec la même exigence qu’une doublure de robe. Couvertes de laque ou de nacre, les masses oscillantes sont placées sur le cadran, sophistiquées au contact de plume, ou de résille. A l’instar de la Dior VIII Grand Bal modèle Résille.
Sur leurs cadrans, les Dior VIII affichent un seul chiffre, le VIII. Mais quand elles entrent dans le Grand Bal de Dior, c’est inversé que le mouvement automatique donne le rythme. Développé en exclusivité par Les Ateliers Horlogers Dior, la Dior VIII Grand Bal modèle Résille 33 mm automatique porte tout à la fois la fonctionnalité d’un remontage du mouvement, et la féerique d’une masse oscillante qui, par-dessus un cadran de nacre blanche, reproduit le tourbillon d’une robe de bal. Dans cette version Résille, les “jupes” ajourées se sertissent de 211 saphirs roses : en plus, la lunette s’orne d’une bague de nacre. Dans ce blanc hypnotisant, le fond en cristal saphir opalescent, laisse deviner la masse oscillante en or, là aussi blanc. Pour les princesses d’un premier bal.
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