En droite ligne de la Haute Couture et de l’art de jouer des matières avec la veste Bar, le Parfumeur-Créateur François Demachy joue des fleurs pour son dernier opus J’adore. L’homme des parfums Dior fait une nouvelle fois la démonstration de sa sensibilité olfactive, et de sa capacité à nourrir en leitmotiv la grammaire florale de Dior. Souhaitant « accentuer le caractère lumineux de l’eau de toilette J’adore », François Demachy à la façon d’un jardinier-poète imagine l’Eau de Lumière, un effluve éclatant et voluptueux aux notes florales plus intenses.
Eau de Lumière sonne comme un éloge à la belle matière « aussi magique soit-il, un parfum est avant tout un art de la matière première ». Dans sa quête, le Parfumeur-Créateur choisit Grasse, jardin de Monsieur Dior, et berceau de la parfumerie française, pour s’arrêter et créer autour du très prisé Néroli de Vallauris « Il a des facettes uniques d’une puissance sans pareille. Il est pétillant, il résonne en tête grâce à sa floralité zestée. » L’essence de fleur d’oranger irradie les arômes délicats de vanille et de citron, le mélange raffiné du magnolia et de rose Damascena… sans jamais dénaturer l’âme de l’iconique floral J’adore, créé par Calice Becker en 1999.
« C’est le sillage qui parachève l’allure ! » aimait à dire Monsieur Dior. La nouvelle écriture olfactive Flower Power de François Demachy enveloppe la femme Dior d’un sillage floral, élégant et lumineux incarnée, sous l’œil de Peter Lindbergh, par la belle égérie Dior, Charlize Theron. A la manière d’une héroine à la Hitchcock, un brun plus solaire, elle avance, conquérante et plus radieuse que jamais… laissant filtrer l’Eau de Lumière Dior J’adore, bien sûr.
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